Entorse, fracture, douleurs chroniques, œdème, invalidité,…, sont des différents traumatismes dont la cheville peut être affecté. Il s’agit d’un large éventail de pathologies articulaires antérieures et postérieures impliquant des anomalies osseuses et des tissus mous. Cela donc peut arriver à des sportifs de haut niveau, ou à des individus au cours de leurs quotidiens. Cependant, les syndromes d’impaction au niveau de la cheville comprennent plusieurs pathologies avec des étiologies variées et de multiples caractéristiques anatomiques.

Bien qu’aucune classification officielle n’existe, ces syndromes sont généralement définis par la zone anatomique particulière impliquée. Des attaques spécifiques antéro-antérielles, antéro-formelles, postérieures, post-démographiques, postérolatérales et syndésmotiques. Cependant, pour simplifier ces pathologies sont généralement regroupées en syndromes d’impaction antérieurs et postérieurs.

Les causes de l’impaction de la cheville

L’impaction de la cheville résulte de la compression des structures à la marge antérieure de l’articulation tibiotalaire pendant la dorsiflexion. D’ailleurs, la douleur engendrée est fréquemment connue chez les athlètes. Le syndrome d’impaction postérieur se caractérise par une compression dans la région anatomique entre le tibia postérieur et le calcanéum pendant la flexion plantaire. Alors que les anatomistes et les chirurgiens ont des structures longtemps reconnues à risque de compression, comme l’os trigonum. Heureusement, le traitement chirurgical des traumatismes de la cheville, notamment l’impaction postérieur fut adopté en 1982.

Comme l’entorse , l’impaction de la cheville est une pathologie de plus en plus reconnue dans une population sportive car notre compréhension de l’étiologie, de la pathogenèse continue d’évoluer. Les progrès récents dans les techniques de diagnostic et de la médecine orthopédique visent à améliorer les résultats.